À l'assaut des nymphomanes en manque de sexe !

De la grosse cochonne de partout

Ce site, c'est le vivier des amatrices de chibres, l'habitat naturel de la grosse cochonne affamée de bites. Comme toutes les espèces en voie de disparition, la grosse cochonne se fait rare, la faute au braconniers qui la chasse pour sa viande charnue et sa fourrure drue. En tant qu'amoureux de la nature, nous avons donc bâti une réserve naturelle où la Cochonna Macrovaginus (son nom scientifique) peut s'adonner à ses passes-temps favoris, la sodomie, la double-pénétration et la dilatation de ses orifices.

Venez mater cette grosse cochonne 

Protégée par la Convention Internationale de Préservation des Ressources Immatérielles de Nymphomanes Excitées (la CIPRINE), la grosse cochonne est observable en accès illimité sur l'ensemble de notre site. Vous pourrez donc l'admirer s'ébrouer entre copines, usant de godes et de dildo pour les parades d'accouplement, se mettre en quête du queutard à grosse bite (Macrophallus Maxizizi) pour des rituels de copulation aussi surprenant que spectaculaire.

Plus grosse cochonne qu'elle, tu meurs

En effet, lors de ces véritables orgies, le nombre importe peu, pourvu qu'il y ait de la chair roide sur laquelle s'empaler et des orifices tièdes et humides à bourrer. À deux, à trois, à quatre, à huit, ou à cinquante, se livrent pareillement à leurs habitudes et la grosse cochonne s'offre à autant de chibre que chacun de ses trous le permettent (en général, c'est trois pénis, chacun !). Ce rituel, somptueux, se conclue invariablement par la souillure du visage de la grosse cochonne par le queutard à grosse bite qui déverse sur ses petits yeux pleins de reconnaissance, tout ce qu'il peut de foutre blanchâtre et visqueux. La cochonne alors retourner alors s'adonner à son petit plaisir solitaire, le doigtage intempestif. Ne ratez plus ces grands moments que nous offre la nature, rejoignez ce site.